

Les artistes dépendent-ils de leur public ? Oui, c’est une
réalité : sans spectateurs, pas de spectacle et vice-versa.
Peuvent-ils également en dépendre physiquement ?
La pièce dépend des spectateur·trice·s qui la soutiennent par leur poids, assis·es sur huit chaises reliées au mât et formant partie intégrante de la scénographie. Celles et ceux qui choisiront d’incarner ce soutien seront reliés par les sangles à l’acte circassien.
Ce mélange entre mât chinois, danse, mime et humour permet d’intégrer une multitude de surprises sur la base de l’improvisation. Miguel joue avec le public. Il va le chercher, le taquine, l’enlace. Chacun peut devenir acteur du spectacle et la scène devient un grand espace de jeu inclusif.